Publié le 29/10/2024
Au sein de votre salon de coiffure ou de votre institut de beauté, vos salariés manipulent au quotidien des produits chimiques. Ces substances peuvent représenter un risque pour la santé de vos équipes : il est donc important d’adopter certaines mesures préventives pour les protéger.
Publié le 30/10/2018
Vous vous êtes entouré de salariés compétents et vous ne souhaitez pas être contraint de les licencier malgré une baisse d’activité. Pourquoi ne pas les mettre provisoirement à la disposition d’une autre entreprise, en attendant que les affaires reprennent ?
Si depuis le 1er juillet 2014, tout contrat de travail à temps partiel ne peut être inférieur à 24h par semaine, une ordonnance du 30 janvier dernier autorise les employeurs, dans certains cas, à déroger à la règle.
Instaurée par la loi de financement de la Sécurité sociale pour 2015, la réforme du congé parental est entrée en application au 1er janvier. Elle prévoit une répartition équitable des droits et des prestations entre les deux parents.
Pour pallier les difficultés rencontrées avec les premières cartes dématérialisées « titre-restaurant » lancées en 2014, de nouvelles cartes arriveront sur le marché au printemps. Elles présentent plusieurs avantages pour les commerçants.
Suite à la naissance du Compte personnel de formation (CPF), vous avez jusqu’au 31 janvier pour informer vos salariés du nombre total d’heures de formation dont ils disposaient au titre du DIF le 31 décembre 2014.
Suite à la réforme des baux commerciaux entrée en vigueur en juin 2014, un décret, paru en novembre, précise la répartition des charges et des impôts entre le locataire et le bailleur.
Suite à l’adoption en mars 2014 de la loi relative à la consommation, les droits des clients en cas de non-respect des délais de livraison ont été récemment précisés par décret.
Dans une démarche d’accompagnement et de conseil aux entreprises, la Direction générale des Finances publiques a créé un site Internet dédié au contrôle fiscal. Procédures, fonctionnement, pièges à éviter : tout y est détaillé.
Les jardineries et les animaleries peuvent désormais bénéficier d’une réduction de 30 % sur la Taxe sur les surfaces commerciales (Tascom) due par les entreprises exploitant une surface de vente au détail supérieure à 400 m2.