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Artisans et commerçants : les 5 bonnes raisons de faire appel à un apprenti

Transmettre vos compétences en intégrant un jeune en apprentissage au sein de votre entreprise vous permettra de faire d’une pierre cinq coups ! En embauchant un apprenti, l’entreprise participe à la formation d’un jeune qu’elle sera susceptible de recruter, en lui apprenant un métier.

Une offre de formations adaptée aux besoins de toute entreprise

Si les secteurs traditionnels de l’apprentissage sont le bâtiment, le commerce, l’hôtellerie-restauration, les petites entreprises agricoles et de soins à la personne, d’autres secteurs font aussi la part belle à l’apprentissage. Nombre de contrats concernent ainsi des fonctions administratives ou commerciales dans les PME du bâtiment, de l’industrie, de l’assurance et dans les TPE. Dans le secteur tertiaire, les entrées en apprentissage progressent : avec 56 %, le tertiaire est le principal utilisateur des contrats d’apprentissage. Les entreprises de plus de 50 salariés font de plus en plus appels aux apprentis.

 

Cette voie de formation offre une palette de métiers très large et permet à toute entreprise de recruter de futurs professionnels, qui ont d’ores et déjà opéré un choix de carrière.


Des jeunes rapidement opérationnels et motivé

En misant sur un apprenti, l'entreprise bénéficie du concours d’une personne motivée, qui progressera rapidement en compétences et apprendra à connaître les codes et valeurs de votre entreprise, pour un investissement inférieur à celui d’un salarié classique.

L’apprentissage est un enseignement très complet qui permet non seulement à l’apprenti d’acquérir des connaissances mais aussi des compétences. C’est l’occasion pour l’entreprise de transmettre aux plus jeunes son savoir-faire « maison » et de faire perdurer son activité !


Des aides financières cumulables 

Exonérations, primes au recrutement, crédit d’impôt... les contrats d’apprentissage ouvrent droit à de nombreuses aides financières pour les entreprises.

  • Exonération totale des charges patronales et salariales pour les entreprises de moins de 11 salariés et exonération partielle pour celles de plus de 11 salariés. Contact : demande d’aide disponible sur le portail de l’alternance (www.alternance.emploi.gouv.fr)
  • Crédit d’impôts, d’un montant de 1 600 € par an net par apprenti (2 200 € pour des personnes spécifiques comme les apprentis handicapés), pour la première année d’une formation de niveau inférieur ou égal à Bac +2 (niveau III)
  • Une prime à l’apprentissage de 1 000 € minimum, versée chaque année par les régions pour les employeurs de moins de 11 salariés, jusqu’à l’obtention du diplôme préparé par l’apprenti
  • Une aide TPE jeunes apprentis de 4 000 €, pour tous les employeurs de moins de 11 salariés qui embauchent un apprenti de moins de 18 ans

 

Bon à savoir : l’apprenti n’est pas comptabilisé dans vos effectifs, excepté pour le risque accident du travail et maladie professionnelle.

 

Des compétences à salaire réduit


L’investissement nécessaire afin d’intégrer et d’accompagner un apprenti se comptabilisera surtout en terme de temps et de ressources humaines, sa rémunération étant réduite. Les minima* fixés par la législation pour le salaire de l’apprenti sont les suivants :

  • La 1re année : 25 % du Smic si le jeune a moins de 18 ans, 41 % s’il a entre 18 et 21 ans et 53 % s’il a plus de 21 ans ;
  • La 2e année : 37 % du Smic s’il a moins de 18 ans, 49 % entre 18 et 21 et 61 % s’il a plus de 21 ans ;
  • La 3e année : 53 %, 65 % et 78 % du Smic selon les mêmes tranches d’âge.

 

*Dans certaines branches, en application de la convention collective dont dépend l'entreprise, la rémunération peut être supérieure au minimum légal.


Un contrat gagnant-gagnant : la formation de l’apprenti dispensée au CFA est gratuite pour les apprentis, et en tant qu’employeur, vous contribuez au financement de la formation et de l’apprenti.

 

Découvrir de jeunes talents et optimiser sa gestion des ressources humaines

Recruter un apprenti peut être l’occasion pour tout employeur de prendre un jeune à l’essai sur une longue période, de 1 à 3 ans. C’est une filière de prérecrutement et d’intégration progressive des talents ! Grâce à la transmission lente et progressive des valeurs, des méthodes et des objectifs de l’entreprise, la future intégration du salarié sera optimisée. Cette période d’apprentissage peut également permettre d’anticiper l’évolution de ses métiers et de ses compétences. En prévoyant par exemple les prochains départs de salariés à la retraite, dans le cadre d’une gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC).

 

 

Sources :

service-public.fr

Ministère du travail

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