Publié le 26/10/2018
Le mal des transports est dû à des informations contradictoires reçues par le cerveau (la voiture bouge mais votre corps est immobile). La première chose à faire est de rester calme. Installez-vous bien dans votre siège et bougez le moins possible votre corps et votre tête. Aidez-vous d’un cale-tête ou d’un coussin. Fixez votre regard sur la ligne d’horizon ou fermez les yeux. Puis détendez-vous en écoutant de la musique, en vous concentrant sur votre respiration ou encore en pratiquant la méditation.
N’hésitez pas à prendre l’air. Ouvrez les fenêtres pour renouveler l’air de votre voiture. Cela permet aussi de rafraîchir l’atmosphère, car il faut éviter d’avoir trop chaud. N’oubliez pas de faire des pauses régulières pendant votre voyage afin de respirer de l’air frais et de dégourdir vos jambes.
Son utilisation est reconnue par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour lutter contre les nausées et les vomissements liés au mal des transports. Vous pouvez le prendre sous forme de gélules, de pastilles ou encore en infusion, à boire une demi-heure avant le départ. Vous pouvez aussi mâcher un petit morceau de gingembre frais pendant votre voyage.
Parmi les plus efficaces figurent les antihistaminiques, disponibles sans ordonnance, qui ont une action sédative ; c’est-à-dire qu’ils ont un effet relaxant, tranquillisant. Ils se prennent environ une demi-heure avant le départ et font effet pendant environ six heures. Demandez toujours conseil à votre pharmacien, car ils peuvent présenter des effets secondaires, comme le risque de somnolence. Ils peuvent également être contre-indiqués pour certaines personnes, comme les femmes enceintes par exemple. Ces médicaments sont donc à éviter si vous prévoyez de prendre le relai du conducteur. Il existe aussi des médicaments homéopathiques, qui agissent en préventif et en curatif.