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L'assurance décès : pour protéger ceux qui restent

Au décès d'un proche, solitude et détresse sont des fardeaux déjà bien lourds à porter. Inutile d'y ajouter l'incertitude financière. Souscrire une assurance décès permet de faire face aux dépenses liées aux obsèques, voire de garantir durablement la sécurité matérielle de son conjoint, de ses enfants ou de ses proches.

Une assurance pas comme les autres

En contrepartie de cotisations unique ou périodiques, votre assureur s'engage à verser en cas de décès au cours du contrat un capital dont le montant est défini à la souscription au(x) bénéficiaire(s) que vous aurez désigné(s). Ceux-ci peuvent être votre conjoint, vos enfants... ou n'importe quelle autre personne de votre choix.

Quel capital prévoir prévoir ?

Vous choisissez le montant du capital décès : de quelques milliers d'euros, pour faire face aux dépenses de première nécessité, jusqu'à 50 000, 100 000 € voire davantage selon les contrats proposés par les assureurs.

Il n'existe pas de montant idéal. Celui-ci dépend de votre objectif : permettre à vos proches de se retourner ou garantir le niveau de vie de l'ensemble de votre famille pendant de nombreuses années.

Couplage avec une convention obsèques

Vous pouvez également opter pour une assurance décès (vie entière) couplée avec une convention obsèques. Cette formule permet non seulement de prévoir les fonds nécessaires à l'organisation des funérailles, mais aussi d'en anticiper les modalités. Vous serez ainsi assuré que tout se passera comme vous le souhaitez... tout en épargnant à vos proches des choix toujours délicats en période de deuil.

Des formules à la carte

Une assurance décès peut prendre deux formes :

L'assurance Temporaire décès, qui est limitée dans le temps, à la manière de celle qui accompagne les crédits immobiliers. Si, au terme du contrat, le souscripteur est toujours vivant, il aura été garanti sur la période sans pouvoir prétendre à remboursement de cotisations au terme. Diverses options peuvent s'ajouter au contrat principal :

  • doublement du capital en cas de décès accidentel ;
  • versement d'une rente supplémentaire destinée à financer les études des enfants ;
  • déblocage du capital en cas d'invalidité permanente ;
  • indemnisation pour incapacité temporaire, etc.
  • L'assurance Vie entière, qui garantit le versement du capital ou de la rente prévus, quel que soit l'âge du souscripteur au moment de son décès... à condition, bien sûr, qu'il soit toujours assuré. A la différence du premier, ce contrat dispose d'une valeur de rachat.

    Des cotisations évolutives

    Le coût de la cotisation d'assurance dépend du montant du capital décès souhaité pour ses bénéficiaires et de l'âge de l'assuré, voire éventuellement de son état de santé.

    Bien lire son contrat

    Les contrats d'assurance comportent des clauses d'exclusion de garanties plus ou moins étendues. Les plus fréquentes en matière d'assurance décès sont :

    • la pratique d'un sport dangereux (par exemple le parachutisme) ;
    • les accidents de la route en état d'ivresse ;
    • le suicide...

    Ils peuvent également comporter des périodes plus ou moins longues à partir de la souscription au cours de laquelle le risque n'est pas couvert. Un décès faisant suite à une maladie durant cette période ne donne droit à aucune indemnisation. En revanche, les cotisations déjà versées sont intégralement remboursées à la succession.

    Une fiscalité attractive

    Le régime fiscal est celui de l'assurance vie. 

    Les capitaux versés dans le cadre d'une assurance décès sont totalement exonérés de taxes ou de droits de succession quand le bénéficiaire désigné est le conjoint ou le partenaire de pacs. Pour tout autre bénéficiaire, un abattement de 152 500 € s'applique sur la prime annuelle ou la prime versée (en cas de prime unique) avant 70 ans.

    Pour les versements effectués après 70 ans, l'abattement est de 30 500 € sur les primes.

    Nos solutions

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