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Que faire de son Livret jeune après 25 ans ?

Destiné aux adolescents à partir de 12 ans, le Livret jeune est un placement particulièrement attractif pour se constituer une petite épargne avec un taux autour de 3,30 %. Il prend automatiquement fin l'année du 25e anniversaire de l’épargnant. Comment réinvestir ensuite ce capital ?

Le livret doit être fermé l'année des 25 ans

Plafonné à 1600 € hors intérêts, le Livret jeune est souvent considéré par les banques comme un produit d’appel destiné à fidéliser une clientèle potentielle.

Il bénéficie de ce fait d’un taux de rémunération majoré par les banques souvent autour de 3,30%, net d’impôts.

Mais, au plus tard le 31 décembre de l'année du 25ème anniversaire, le compte doit obligatoirement être fermé.

Plusieurs solutions s'ouvrent alors à vous...

Epargne à court terme

Pour continuer à se constituer une épargne dite « de précaution », le Livret A et le Livret de développement durable et solidaire (LDDS) offrent les mêmes fonctionnalités que le Livret jeune, avec une rémunération un peu moins attractive (3% au 1er février 2024). Leurs plafonds respectifs sont de 22 950€ et 12 000€. 

PEL et assurance vie

Pour épargner en vue du financement d’un projet à moyen ou long terme, le jeune épargnant pourra opter pour un Plan Epargne Logement (PEL) en vue de l’acquisition d’une résidence principale, ou bien pour un contrat d'assurance vie.

Ces deux contrats permettent de mettre en place des versements mensuels ou trimestriels programmés.

Contrairement au PEL, l'épargne investie sur une assurance vie n'est jamais bloquée et vous pourrez y avoir accès à tout moment.

L’assurance vie permet également de gérer plus librement son épargne, en plaçant par exemple une partie des sommes investies sur des fonds en euros au rendement intéressant et garanti, et une partie sur des unités de compte* investies indirectement en actions et obligations (Fonds communs de placement et Sicav).

Cette diversification permet d'augmenter la performance potentielle de son contrat et donc le montant de son capital. Mais la prise de risque est dans ce cas plus importante : l'épargnant assume seul la baisse éventuelle des supports financiers dans lesquels il a investi.

* La valeur des unités de compte est sujette à fluctuation à la hausse comme à la baisse dépendant en particulier de l’évolution des marchés financiers. L’assureur s’engage sur le nombre d’unités de compte et non sur leur valeur.

 

 

 

Nos solutions

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